par Gina Oum | Méditations
1 Rois 18: 20-21 (LSG)
20 Achab envoya des messagers vers tous les enfants d’Israël, et il rassembla les prophètes à la montagne du Carmel. 21 Alors Elie s’approcha de tout le peuple, et dit : Jusqu’à quand clocherez-vous des deux côtés ? Si l’Eternel est Dieu, allez après lui; si c’est Baal, allez après lui! Le peuple ne lui répondit rien.
Bon à savoir
Avant cela, l’Éternel avait décrété trois ans et demi de sécheresse et de famine par l’intermédiaire du prophète Élie dans tout le pays, afin de punir le peuple à cause de son idolâtrie. Achab et son épouse Jézabel régnaient. Cette dernière avait fait tuer tous les prophètes de l’Éternel et avait imposé Baal et Astarté comme idoles dont le culte était assuré par plus de 850 prophètes.
Que dit le passage ?
Le peuple d’Israël était partagé entre l’Éternel et les faux dieux imposés par leur roi. Élie les confronte afin qu’ils se positionnent une fois pour toutes.
Que signifie le passage ?
Il n’y a que deux camps : Celui de Dieu et celui des idoles. Dieu n’admet ni la tiédeur, ni le christianisme à temps partiel. Soit nous le suivons Lui, et alors nous appliquons ses préceptes à tous les domaines de notre vie, soit nous suivons nos idoles et nous vivons selon les passions de notre coeur. Nul ne peut servir deux maîtres à la fois.
Que signifie le passage pour moi ?
Je peux avoir tendance à balayer le mot « idole » en le limitant aux actions des Israélites dans l’Ancien Testament, mais je dois toujours me souvenir que l’être humain pécheur, y compris moi, est naturellement porté à tout adorer sauf Dieu. Les idoles ne sont donc pas seulement des statues devant lesquelles je me courbe, l’idole c’est tout ce qui prend la première place dans ma vie, la place qui ne doit être réservée qu’à Dieu seul.
Je dois aussi me rappeler que même les bonnes choses telles que la famille, le travail, le ministère, les études, les relations, etc, peuvent devenir des idoles si elles phagocytent mon temps, mon énergie et mes ressources au point où Dieu, sa Parole et ma communion avec Lui passent au second plan. Je ne pourrai jamais valablement prétexter être trop occupée à gérer le don pour justifier ma négligence envers le Donateur. En tant que chrétienne, je dois donc cesser de « clocher des deux côtés », entre mes passions, mes occupations et Dieu, et me décider fermement à Le faire passer en premier, c’est-à-dire avant FaceBook, avant mon émission TV préférée, avant toute distraction, toute relation et toute « occupation », qu’elle soit légitime ou non. Dieu veut régner sans partage dans ma vie et j’ai tout à gagner en Lui donnant la place qui lui revient de droit.
par Gina Oum | Méditations
Psaume 1 :1-3 (S21)
1 [Heureuse la femme] qui ne suit pas le conseil des méchants, qui ne s’arrête pas sur la voie des pécheurs et ne s’assied pas en compagnie des moqueurs, 2 mais qui trouve son plaisir dans la loi de l’Eternel et la médite jour et nuit! 3 [Elle] ressemble à un arbre planté près d’un cours d’eau: il donne son fruit en sa saison, et son feuillage ne se flétrit pas. Tout ce qu'[elle] fait lui réussit.
Bon à savoir
Ce passage est celui que le Seigneur a inspiré en 2014 pour le ministère Fusion’Elles. La vision était de former une communauté de femmes au coeur droit devant Lui, bien disposées les unes envers les autres, qui auraient une passion pour sa Parole et qui seraient solides dans leur foi et des « influenceuses » de qualité quelques soient les défis des saisons qu’elles traversent. C’est toujours notre coeur derrière ce ministère.
Que dit le passage ?
La solidité de notre foi et les fruits que nous produirons dans les différentes saisons de notre vie dépendront de la place qu’on aura accordée à la Parole de Dieu, plutôt qu’à celle des hommes.
Que signifie le passage ?
Il est de notre responsabilité de choisir notre entourage et le type de conseils que nous écoutons et suivons. Seule la Parole de Dieu connue et méditée est notre plus sûr ancrage. Ce n’est que par elle que nous saurons tirer le meilleur profit de chaque saison de notre vie.
Que signifie le passage pour moi?
Il est très tentant de constamment s’abreuver de nouvelles diffusées dans les journaux ou des avis des uns et des autres partagés sur les réseaux sociaux. Tout cela me distraie et le temps que j’y consacre est du temps en moins pour la seule chose qui m’édifie vraiment : la Parole de Dieu. Je dois revoir mes priorités et me montrer intentionnelle dans ce que je vais laisser diriger ma vie, influencer mon humeur ou bâtir mes convictions. Le fruit de ma saison viendra soit des Hommes dont j’aurai suivi le conseil imparfait, soit de Dieu dont la Parole est le plus sûr engrais pour ma croissance dans cette vie. Je dois aussi me rappeler que par mon attitude et ma disposition de coeur, je contribue à la qualité de la communauté d’Église que je désire expérimenter pour favoriser ma croissance spirituelle et relationnelle.
À faire
Dans quelle saison spirituelle êtes-vous? Connaître votre saison vous aide à mieux écouter Dieu, la direction de son Saint-Esprit et à savoir quel type de fruit vous êtes appelée à porter. Faites le test !
par Gina Oum | Méditations
Jean 15 : 1-4 (LSG)
1 Je suis le vrai cep, et mon Père est le vigneron. 2 Tout sarment qui est en moi et qui ne porte pas de fruit, il le retranche; et tout sarment qui porte du fruit, il l’émonde, afin qu’il porte encore plus de fruit. 3 Déjà vous êtes purs, à cause de la parole que je vous ai annoncée. 4 Demeurez en moi, et je demeurerai en vous. Comme le sarment ne peut de lui-même porter du fruit, s’il ne demeure attaché au cep, ainsi vous ne le pouvez non plus, si vous ne demeurez en moi.
Bon à savoir
Jean est celui que la Bible appelle aussi « Fils du tonnerre » ou « le disciple que Jésus aimait ». Jean avait environ 25 ans quand Jésus l’appela et il était auparavant un disciple de Jean-Baptiste. Il a écrit son Évangile pour prouver que Christ était le Messie promis et le Fils de Dieu. La foi en Christ est centrale à son message.
Que dit le passage ?
La vie du sarment provient du cep et la vie du cep est dans le sarment. Christ étant le cep par excellence, le sarment accroché à Lui produit du bon fruit, mais non sans passer par la nécessaire étape de l’émondage.
Que signifie le passage ?
Jésus est le seul à qui le chrétien doit s’attacher. C’est uniquement par Lui que nous pouvons produire du fruit que le Père se plaira à récolter. Mais il est important de comprendre qu’on n’émonde que les arbres féconds qui portent du fruit afin qu’ils en portent encore plus.
Que signifie le passage pour moi?
Les épreuves et la souffrance que Dieu permet dans ma vie me rappellent que je porte du fruit, sinon je ne serais bonne qu’à être jetée au feu. Seuls les sarments féconds sont émondés. L’émondage me prouve que je ne suis pas un sarment stérile et flétri. Dieu veut amener le sarment que je suis à son plein potentiel. Je dois au contraire me questionner lorsque ma foi n’est plus éprouvée, car elle est appelée à croître sans cesse. Par la foi, je peux me réjouir de l’oeuvre de Dieu en moi dans ma saison d’émondage, même si je ne comprends pas tout ce qu’Il fait.
par Gina Oum | Méditations
Matthieu 6:5-14 (LSG)
5 Lorsque vous priez, ne soyez pas comme les hypocrites, qui aiment à prier debout dans les synagogues et aux coins des rues, pour être vus des hommes. Je vous le dis en vérité, ils reçoivent leur récompense.6 Mais quand tu pries, entre dans ta chambre, ferme ta porte, et prie ton Père qui est là dans le lieu secret; et ton Père, qui voit dans le secret, te le rendra.7 En priant, ne multipliez pas de vaines paroles, comme les païens, qui s’imaginent qu’à force de paroles ils seront exaucés. 8 Ne leur ressemblez pas; car votre Père sait de quoi vous avez besoin, avant que vous le lui demandiez.9 Voici donc comment vous devez prier : Notre Père qui es aux cieux ! Que ton nom soit sanctifié; 10 que ton règne vienne; que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. 11 Donne-nous aujourd’hui notre pain quotidien; 12 pardonne-nous nos offenses, comme nous aussi nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés; 13 ne nous induis pas en tentation, mais délivre-nous du malin. Car c’est à toi qu’appartiennent, dans tous les siècles, le règne, la puissance et la gloire. Amen !14 Si vous pardonnez aux hommes leurs offenses, votre Père céleste vous pardonnera aussi; 15 mais si vous ne pardonnez pas aux hommes, votre Père ne vous pardonnera pas non plus vos offenses.
Bon à savoir
La prière est une conversation avec Dieu. Nous lui parlons, Il nous écoute et nous pouvons l’entendre en retour.
Que dit le passage ?
Jésus explique aux disciples comment prier. Cette prière peut être divisée en trois sections : dire à Dieu que nous savons Qui Il est; placer notre confiance en Lui et Lui demander de pourvoir à nos besoins.
Que signifie le passage ?
La chose la plus importante dans la prière, c’est notre posture (disposition de coeur). La prière n’est pas une liste d’épicerie et Dieu n’est pas un distributeur automatique. La prière n’est pas non plus un concours d’éloquence, une formule magique ou un show que l’on donne pour démontrer notre haute spiritualité. Jésus parle de s’adresser à NOTRE PÈRE, ce qui implique de connaître et/ou de désirer connaître Dieu dans sa Personne et pas seulement dans sa provision. Sachant Qui Il est, notre prière est alors pleine de confiance et nous attendrons sereinement son exaucement.
Que signifie ce passage pour moi ?
La prière de Jésus est un exemple du type de prières que je suis invitée à adresser à Dieu. Plus que des mots à répéter, c’est surtout ma foi dans la Personne et dans les promesses de Jésus qui doit imprégner ma prière. Il est digne de ma confiance et je peux compter sur Lui. La prière me rapproche de Lui. Je reçois alors la force, la direction, la provision et la paix nécessaires pour aborder les saisons et témoigner de sa gloire dans ma vie.
par Gina Oum | Méditations
Dieu nous parle abondamment à travers la nature et tout particulièrement en automne, pour peu qu’on prenne le temps d’observer et d’écouter.
L’automne est en effet une saison très riche en enseignements divins. Il est synonyme :
- de changement, à l’image des feuilles qui changent de couleur;
- de dépouillement, à l’image des branches qui se dénudent peu à peu;
- de grâce, à l’image des pluies abondantes, symbole biblique de grâce;
- de quiétude, à l’image de la grisaille et du froid qui s’installent et nous invitent à ralentir et à apprécier le doux confort de nos foyers chauffés.
Vivre l’automne sans s’arrêter sur ce qu’il nous enseigne serait donc un pur gâchis, vous ne croyez pas? Pourquoi ne pas s’inspirer de la Création durant cette saison pour répondre à l’appel divin?
Voici 4 questions que je vous invite à explorer personnellement, afin de ne rien manquer de ce que Dieu fait et veut faire dans votre vie durant cette saison.
1. À quel changement vous appelle-t-Il ?
Dieu nous accepte telles que nous sommes, mais Il nous aime trop pour nous laisser là où nous sommes. Comme tout bon parent pour son enfant, Il veut que nous croissions en beauté, en sagesse, en foi, en amour… en tout ce qui nous permettra de bien Le représenter ici-bas. Il y a donc forcément un changement intérieur auquel Il nous appelle. Mais lequel ? Prenons le temps de le découvrir !
2. De quoi devez-vous vous dépouiller ?
En d’autres termes, qu’est-ce qui occupe tellement notre vie présentement au point de prendre la première place qui revient à Dieu seul? De quelle mauvaise habitude ou attitude devons-nous enfin nous débarrasser? À quel péché devons-nous renoncer? Quelles priorités devons-nous réévaluer? De quel “bagage” mental devons-nous nous défaire? De quels objets devons-nous désencombrer nos maisons? Souvenons-nous qu’il faut que les anciennes feuilles tombent avant que Dieu ne puisse en faire renaître des nouvelles.
3. C’est le mois de l’action de grâce. De quoi sera constituée votre liste de gratitude envers Dieu ?
Sa pluie de grâce a encore surabondé dans nos vies. Dieu est digne de notre reconnaissance ! Si nous avons le temps de planifier le menu familial de l’action de grâce, nous pouvons en trouver pour faire une liste de gratitude. Le jour de l’action de grâce, ne nous limitons donc pas à la dinde et à la tarte aux pacanes ! Faisons la liste la plus détaillée possible.
4. Comment allez-vous poursuivre la quiétude en automne ?
La paix du chrétien ne vient ni des circonstances, ni du matériel, mais du contentement et de sa confiance inébranlable en Dieu. Comment prendrons-nous concrètement le temps, en automne, pour nous rapprocher de Lui et pour cultiver intentionnellement cette confiance?
Ne gâchons pas nos automnes. Dieu se trouve aussi au coeur de cette saison, et Il nous invite à prendre place avec Lui sur le banc de la réflexion intentionnelle qui nous aidera à entretenir une foi vivante.
La voulons-nous?
par Gina Oum | Méditations
Veillez donc, puisque vous ne savez pas quel jour votre Seigneur viendra. Sachez-le bien, si le maître de la maison savait à quelle veille de la nuit le voleur doit venir, il veillerait et ne laisserait pas percer sa maison. C’est pourquoi, vous aussi, tenez-vous prêts, car le Fils de l’homme viendra à l’heure où vous n’y penserez pas. – Matthieu 24:42-44
À l’heure où j’écris ces lignes, le monde entier est en train de combattre une pandémie de Coronavirus qui a déjà fait des milliers de morts dans plusieurs pays. C’est la panique générale, les gouvernements font passer mesures après mesures, les grands rassemblements sont annulés pour une durée indéterminée, les supermarchés sont pris d’assaut pour faire le plein de provisions et les écoles, y compris celles de mes enfants, sont désormais fermées. Le monde a peur et le monde réagit comme il le fait si souvent dans de pareils cas : en comptant sur ses forces, sa planification et ses provisions pour échapper à la maladie, à la mort.
Je suis une mère de famille avec de jeunes enfants qui chaque jour prenaient le chemin de l’école où pendant plusieurs heures, ils côtoyaient des centaines d’autres enfants. Alors bien évidemment, ces jours-ci, à la moindre toux ou au moindre éternuement, la question surgit inévitablement dans ma tête : a-t-il/elle attrapé le virus? Je fais religieusement appliquer les mesures de prévention et je reste à l’affût des nouvelles, ce qui est bien contraire à mon principe “anti-nouvelles” habituel.
Chrétien ou non, il est difficile de passer à côté des interrogations raisonnables que suscite une telle crise. Il serait même totalement irresponsable et égoïste de notre part de choisir de ne pas appliquer les mesures de prudence, sous prétexte que notre Dieu est plus grand que le Coronavirus. Ce n’est pas sans rappeler ces “pasteurs” qui se faisaient volontairement mordre par des serpents pour tenter de prouver la véracité de Marc 16: 17-18. Beaucoup en sont morts, parce qu’ils ont oublié cette parole de Christ : Tu ne tenteras point le Seigneur, ton Dieu (Matthieu 4:7). La sagesse de Dieu nous appelle non seulement à considérer le danger quand il est réel (sans pour autant sombrer dans la paranoïa et vivre dans la peur), mais aussi à respecter les autorités et les mesures qu’elles mettent en place.
Mais revenons au Covid-19.
Alors que je parcourais frénétiquement les dernières nouvelles en me demandant si je devais moi aussi faire ou non des provisions “au cas où”, une chose me frappa : des milliers de personnes se préparent à l’arrivée du virus dans le monde, virus dont on peut prédire et observer la propagation à la région près, mais combien se préparent à l’arrivée de Christ, qui elle sera soudaine et plus radicale?
Croyants ou non-croyants, nous sommes tous concernés, car nous vivons nos vies sans réellement réaliser l’imminence de cet événement qui changera absolument tout et pour toujours. Aucun vaccin, aucune provision, aucun masque, aucune dose de Clorox ou de désinfectant n’y pourra rien. Christ reviendra soudainement et nous serons tous surpris. S’il est une leçon que me rappelle cette pandémie, c’est bien celle de veiller et de me tenir prête, non pas seulement contre le Coronavirus, mais pour rencontrer à n’importe quel instant de ma journée ou de ma nuit, mon Seigneur à Qui je devrai rendre des comptes : serais-je prête (Matthieu 24:44)? Me trouvera-t-Il occupée aux affaires qu’Il m’a confiées (Matthieu 24:46)? Serais-je de ceux qu’Il reconnaîtra comme Siens quand ils diront “Seigneur, Seigneur“(Matthieu 7:21)? Mieux encore, me dira-t-Il: “Gina, bonne et fidèle servante, entre dans la joie de ton Maître (Matthieu 25 : 21)?” Ou encore: “Gina, je suis fier de toi, car tu as combattu le bon combat, tu as terminé la course, tu as gardé la foi (2 Timothée 4:7)?
Alors oui, je dois absolument prendre en compte les alertes et précautions mondiales au sujet de ce dangereux Covid-19 qui se propage à la vitesse grand V, mais je dois aussi me rappeler qu’Il y a tout autant, voir plus imminent que lui : le retour du Seigneur ou même simplement une mort soudaine, possible à n’importe quel instant et de mille façons autres que par le Coronavirus. La véritable question à se poser est : serez-vous prête? La véritable question à se poser pour les chrétiens tièdes ou pour les non-croyants, c’est : “Où passerai-je mon éternité ?” Parce que vous pourrez échapper au virus grâce à toutes les précautions d’usage, mais aucun de nous n’échappera à ce moment décisif qui clarifiera la trajectoire de notre prochaine vie. Car en effet, qu’on le croit ou non, il y aura bien une autre vie après celle-ci. Et la crainte d’attraper le Coronavirus ne sera rien à côté de celle que l’on ressentira si on se retrouve face à Christ sans avoir la certitude de son Salut.
Appliquons donc à tout prix les consignes d’usage pour éviter le virus et sa propagation. Servons notre Dieu, et Il bénira notre pain et notre eau et éloignera la maladie du milieu de nous (Exode 23:25). Élevons l’Éternel qui est effectivement au dessus de cette pandémie. Mais que ce Covid-19 soit un rappel pour nous tous que nos jours sont comptés et que ceux-ci peuvent s’arrêter sans qu’aucune couverture médiatique ne nous aide à nous y préparer.
Christ vous attend pour un Salut gratuit et une vie éternelle sans Coronavirus à ses Côtés. Et ça, vous pouvez y avoir accès dès aujourd’hui.
Le jour du Seigneur viendra comme un voleur [dans la nuit]. Ce jour-là, le ciel disparaîtra avec fracas, les éléments embrasés se désagrégeront et la terre avec les oeuvres qu’elle contient sera brûlée. – 2 Pierre 3:10
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