Des épines en cadeau

Des épines en cadeau

Quand tu penses aux choses les plus précieuses de ta vie, t’arrive-t-il de considérer le chemin difficile qui t’a menée à ces trésors ? Les défis de vie que tu rencontres ont-ils tendance à te décourager ou plutôt à te motiver?

Certaines des plus belles choses que nous obtenons dans la vie viennent enveloppées d’une couronne d’épines. — Shannon L. Alder

Nous vivons dans un monde où les difficultés sont inévitables. Chaque jour peut apporter son lot d’épreuves, qu’il s’agisse de problèmes de santé, de soucis financiers, de conflits relationnels ou de crises personnelles. Les douleurs et les sacrifices font partie intégrante de notre parcours, et il est facile de se sentir submergée et accablée par ces épreuves. Pourtant, la Bible nous rappelle que ces moments difficiles ne sont pas sans but. Ils sont bien souvent le creuset qui permet d’affiner notre caractère et de renforcer notre foi.

C’est souvent dans ces moments d’épreuves que nous découvrons en effet des bénédictions cachées. Par exemple, face à une maladie grave, nous pouvons développer une nouvelle appréciation de la vie et de la santé, renforcer nos liens avec nos proches, et approfondir notre dépendance envers Dieu. Les difficultés financières peuvent nous enseigner la valeur de la simplicité, de la générosité et de la gestion sage des ressources. Les conflits relationnels peuvent nous pousser à la réconciliation, à la compréhension et au pardon. Tout dépend donc de la perspective que nous choisissons d’adopter au coeur de l’épreuve.

Jésus nous a dit :

Dans le monde, vous aurez des tribulations. Mais prenez courage, j’ai vaincu le monde. – (Jean 16:33)

Cette promesse est une source immense de réconfort et de force. Elle nous assure que, malgré les tribulations que nous rencontrons, nous ne sommes pas seuls. Jésus qui a lui-même souffert et surmonté les pires épreuves, marche avec nous dans nos propres souffrances. Sa victoire sur le monde signifie que les douleurs présentes ne sont pas la fin de l’histoire. Elles sont temporaires et font partie du grand plan de Dieu pour notre vie.

Ces tribulations peuvent aussi nous rapprocher de Dieu. Lorsque nous sommes au plus bas, nous sommes souvent plus ouverts à sa présence et à sa direction. Les moments de prière deviennent plus sincères, les lectures bibliques plus significatives et notre écoute du Saint-Esprit plus attentive. En traversant les vallées de l’ombre, nous apprenons à connaître Dieu non plus seulement comme un concept théologique, mais comme un Père aimant, un Consolateur fidèle et un Ami proche.

Chaque épreuve est ainsi une invitation à approfondir notre relation avec Dieu et à découvrir les richesses de sa grâce. Ces bénédictions cachées ne se révèlent pas toujours immédiatement, mais avec le temps et la perspective, nous apprenons à voir comment Dieu a travaillé dans nos vies à travers les moments de douleur et de sacrifices. Il transforme nos tribulations en témoignages de sa fidélité et de sa puissance rédemptrice.

Voici quelques questions que je t’invite à méditer :

  • Quels sont les moments de ta vie où tu as trouvé de la beauté au milieu de la souffrance ? Comment ces expériences ont-elles transformé ta foi et tes priorités ?
  • Que ferais-tu différemment si tu savais que chaque épreuve que tu traverses mène à une bénédiction plus grande ?
  • Crois-tu réellement que Dieu utilise chaque moment de souffrance pour te préparer à quelque chose de plus beau ?

Ces questions nous confrontent à notre perception des épreuves et à notre foi en la promesse que Dieu travaille toutes choses pour le bien de ceux qui l’aiment (Romains 8:28). Et la Bible nous enseigne aussi que “les souffrances du temps présent ne sauraient être comparées à la gloire à venir qui sera révélée en nous” (Romains 8:18). Jésus lui-même a porté une couronne d’épines, et à travers ses souffrances, il a apporté la rédemption au monde (Jean 19:2, Hébreux 12:2). Ce fait nous rappelle que nos propres épreuves peuvent également aboutir à des résultats merveilleux, même si nous ne les voyons pas tout de suite. 

Alors, comment devrions-nous vivre nos vies au milieu de ces épreuves ?

Nous sommes appelés à les embrasser avec patience et foi, sachant que ces moments sont des occasions de croissance spirituelle et de préparation pour les bénédictions à venir (Jacques 1:2-4). Nous devons porter notre propre croix chaque jour et suivre Jésus, confiantes dans le fait que chaque épine est un pas de plus vers la couronne de gloire (Luc 9:23).

Les épines que nous rencontrons sur notre chemin ne sont pas là pour nous faire tomber, mais pour nous rappeler que chaque souffrance est une opportunité pour découvrir la beauté cachée de la vie en Christ. Restons fortes et confiantes, car de nombreuses bénédictions de Dieu, bien qu’enveloppées de souffrances, sont infiniment précieuses et éternelles.

En Lui.

 

 

Comment vivrais-tu?

Comment vivrais-tu?

Jésus répondit: «Je le suis. Et vous verrez le Fils de l’homme assis à la droite du Tout-Puissant et venant sur les nuées du ciel.»
—Marc 14:62

Quand vous allez vous coucher le soir, vous arrive-t-il de vous demander si Christ reviendra durant votre sommeil ? Ou peut-être à l’aube, dès votre réveil? Ou pendant que vous êtes sous la douche, ou devant votre télévision? Moi, il m’arrive parfois d’y penser quand je conduis seule face au soleil couchant sur l’autoroute. Mais la vérité est que je traverse la plupart de mes journées sans y penser, passant d’une tâche à une autre et me frustrant même parfois des différentes interruptions.

Notre monde de distractions ne nous aide pas à nous attendre au retour prochain de Christ qui sera pourtant aussi soudain et inattendu qu’un voleur dans la nuit (1 Thessaloniciens 5:2). Nous vivons nos quotidiens loin de cette pensée et nous subissons notre réalité de faits divers sordides, d’économie anxiogène, de guerres, de technologies, de réseaux sociaux et d’idéologies woke. Et même les plus intentionnelles pourront être prises au dépourvu quand ce jour viendra. Car il viendra à coup sûr.

Voici quatre questions que je t’invite à méditer avant de poursuivre la lecture de cette méditation :

  1. Comment vivrais-tu si tu savais que Christ revenait dans 5 minutes? Dans une semaine? Dans un an?
  2. Que changerais-tu immédiatement à ta vie, à tes priorités, à tes valeurs, à tes poursuites?  
  3. Et si tu sais ce que tu changerais, pourquoi ne le fais-tu pas maintenant, alors qu’Il pourrait effectivement revenir à tout instant?
  4. Ou peut-être, ne le crois-tu pas vraiment? Qu’en est-il?

Je sais que ce sont des questions qui dérangent, mais elles nous confrontent au nécessaire examen de notre foi en ce que la Bible dit et à l’examen de nos priorités de vie. Je crois fermement que nos choix, priorités et même nos comportements seraient radicalement différents si nous avions la date du retour de Jésus et la certitude intérieure de ce retour. Nous savons intellectuellement qu’il reviendra, mais notre coeur le sait-il vraiment ? Notre coeur y croit-il vraiment ?

Vous vous dites peut-être : “Il ne reviendra probablement pas aujourd’hui…” Mais c’est précisément un tel jour qu’Il peut revenir, “…car le Fils de l’homme viendra à l’heure où vous n’y penserez pas” (Matthieu 24:44).

Ne nous laissons donc plus happer par le bruit de ce monde qui s’amplifie de jour en jour. Nous avons la responsabilité de nous tenir prêtes à tout moment pour le retour triomphant et glorieux de notre Seigneur. Nous sommes appelées à rester vigilantes en ces temps de la fin où le Malin s’en donne à coeur joie pour voler, égorger et détruire. Nous devons veiller et rester sobres puisque nous ne savons ni le jour ni l’heure. Nous devons approvisionner nos lampes comme les vierges sages et nous devons muscler notre foi face à l’adversité de notre monde complexe et décadent (1 Pierre 5:8, Jean 10:10, Matthieu 25: 4, Luc 18:8).

Jésus revient bientôt. C’est une promesse et une certitude. Mais c’est aussi une merveilleuse espérance pour tous ceux qui auront placé leur foi en Lui.

Comment vivrais-tu aujourd’hui si tu y croyais vraiment ?

En Lui.

 

 

 

Les soifs de l’âme

Les soifs de l’âme

Comment va votre âme ? Vous êtes-vous déjà sérieusement posé la question ? Savez-vous que votre âme a autant besoin de soins que votre corps ? Le stress, les insomnies et l’agitation intérieure que vous ressentez présentement sont probablement les symptômes d’une âme en grande détresse ! Votre âme est affamée, confuse, insatisfaite et elle a besoin que vous vous occupiez d’elle. 

N’allez surtout pas croire que plus de somnifères, plus d’alcool, plus de sexualité, plus de shopping, plus de possessions ou plus de distractions sur les réseaux sociaux ou à la télévision pourront étancher cette soif. Votre âme a besoin de la seule source qui soit réellement capable de l’étancher : votre âme a besoin d’une communion renouvelée avec Dieu, de l’eau vive de Christ.

La première chose à faire, c’est donc de reconnaître le néant spirituel dans lequel votre âme est en train de sombrer, puis de prendre les mesures nécessaires. Dans Matthieu 5 au verset 3, Jésus appelle « heureux » ceux qui reconnaissent leur pauvreté spirituelle, car c’est à eux qu’appartient le royaume des cieux. Tenter d’apaiser les tourments de votre âme autrement qu’en revenant à Celui qui l’a façonnée équivaut donc à choisir d’ignorer la seule oasis dans votre désert : vous mourrez de soif, à coup sûr !

Inspirons-nous donc du roi David et de l’humilité dont il savait tant faire preuve devant son Dieu. Tournons nos âmes assoiffées et désespérées vers le Seigneur, plutôt que vers le matérialisme si caractéristique de notre société. Jésus promet:

Celui qui boira de l’eau que je lui donnerai n’aura plus jamais soif et l’eau que je lui donnerai deviendra en lui une source d’eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle. – Jean 4:14

Pourquoi se priver d’une telle promesse si facilement accessible à tout enfant de Dieu ?

Ne laissons pas les nouvelles, la grisaille, l’inflation ou les déceptions humaines nous détourner de la richesse spirituelle que nous offre le Seigneur. Nos âmes sont faites pour Dieu. Étanchons donc les soifs de nos âmes à la Source de la vie.

 

 

Accueillons le printemps

Accueillons le printemps

C’est bientôt le printemps, du moins, sur le calendrier. Cette saison semble avoir oublié de passer par le Canada… 🙂

Dans la Bible, le printemps symbolise le renouveau, le temps des nouveaux départs. C’est le temps de faire le grand ménage, et c’est aussi le temps de la croissance spirituelle et personnelle. Au printemps, la Création toute entière devient une flamboyante démonstration de la puissance et de la présence de notre Créateur ! Réalisez-vous que dans quelques jours à peine, avec la même fidélité, la même créativité et la même précision qui le caractérisent de toute éternité, notre Père céleste renouvellera cette nature qui nous émerveillera, adoucira ces températures qui nous réchaufferont, et fera revenir ces oiseaux migrateurs dont le chant cristallin égayera nos matins? On prend tellement pour acquises certaines choses qu’on en oublie parfois le miracle et la bonté de Dieu qu’elles expriment. Avec le printemps, tout se renouvelle, tout reprend vie, de nouvelles perspectives naissent et la bienveillance de Dieu s’exprime, plus colorée que jamais.

Mais se peut-il qu’on puisse manquer cette saison de renouvellement ?

Cela se peut fort bien ! Si l’on choisit de mettre Dieu dans une boîte, de s’enfermer dans ce qu’on croit avoir acquis, dans ce qu’on croit savoir de la vie, des autres ou même de nous-mêmes, alors il est certain qu’on passera à côté de l’épanouissement continuel que Dieu destine à toutes celles qui Lui appartiennent et qui s’y disposent. On peut aussi choisir de vivre telle une passagère en attente du prochain vol en partance pour le Ciel, ou telle une disciple de Christ, animée de sa Vie (son Zoé), impatiente et excitée à l’idée de découvrir les différents aspects de la renaissance qu’Il lui réserve. Comme pour les plantes, les arbres, les cours d’eau et les fleurs, nul doute que cette renaissance s’annonce créative et riche de toutes sortes d’expériences, pour peu qu’on décide de s’ouvrir à nouveau et qu’on ose revivre enfin.

Ma question pour vous est : permettrez-vous à ce printemps d’être votre saison de renouvellement sur les plans spirituel, émotionnel, relationnel et physique, ou permettrez-vous à votre hiver de se prolonger dans ces domaines ? À vous de voir. Mais n’oubliez pas que Dieu n’attend que vous.

Ne soyez pas l’obstacle à votre propre printemps!

Car voici, l’hiver est passé; La pluie a cessé, elle s’en est allée. Les fleurs paraissent sur la terre, le temps de chanter est arrivé, et la voix de la tourterelle se fait entendre dans nos campagnes. Le figuier embaume ses fruits, Et les vignes en fleur exhalent leur parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens ! – Cantique des cantiques 2:11-13

 

 

Au coeur de ton histoire

Au coeur de ton histoire

En étudiant le livre de l’Ecclésiaste ces dernières semaines, j’ai à nouveau été vivement interpellée par la réalité que nos vies sont des histoires avec un début, un milieu et une fin. Comme dans les livres, elles sont peuplées d’aventures, de crises, de tragédies et de routines qui en font toute la richesse. Mais parfois, au milieu du chaos ou des désillusions, lorsque la vie ne ressemble à rien de ce que nous avions espéré, il devient difficile d’apprécier certains chapitres. Que notre saison soit de désert, de croissance, de récolte ou d’émondage, nous vivons toutes ces phases de questionnements quant au sens de notre existence, des activités ou même des personnes auxquelles on se donne corps et âme. Face au doute ou même au découragement, il est important de se rappeler ces trois bénédictions qui demeurent pour nous au coeur de n’importe quelle saison.

Bénédiction #1 : Tu connais la fin de ton histoire

Grâce à Jésus nous avons l’assurance que notre histoire connaîtra une fin heureuse. Que cette vérité t’aide à persévérer dans ta saison et qu’elle renouvelle ton espérance au milieu des épreuves auxquelles tu es confrontée présentement.

Bénédiction #2 : Tu n’es pas ta saison

Dieu ne te résume pas à la somme de tes erreurs, défis, échecs, manquements, ni même à la somme de tes réussites ! Tirer une conclusion sur ta personne alors que ce que tu vis n’est qu’un chapitre de ton histoire et non la fin du livre serait te priver de la grâce de Dieu et de son désir de te restaurer et de te renouveler.  Rappelle-toi que les plus fortes ne sont pas celles qui ne tombent jamais, mais celles qui se relèvent après leur chute en s’appuyant sur la grâce et la puissance de Dieu.

Bénédiction #3 : Dieu est avec toi au coeur de ta saison

Emmanuel est avec nous en toutes saisons. Il sait ce que tu vis, il accueille tes tourments, il les comprend mieux que personne et il veut t’aider dans tes quêtes, questionnements et combats. Tu es profondément aimée d’un Dieu qui s’intéresse réellement à toi, même si les autres semblent t’avoir oubliée ! N’oublie jamais cette vérité.

Bénédiction #4 : Tu peux donner un sens à ta saison

Cette saison n’est pas la fin de ton histoire, même si tu en as l’impression. Dieu la permet dans ta vie, parce qu’il veut en produire un fruit éternel pour ta croissance et pour sa gloire. Aie confiance en Lui et cherche de tout ton coeur ce que veut t’enseigner cette saison pour toi même, mais aussi comment tu pourras t’en servir pour semer dans la vie des autres.

Toute saison comporte son lot de joies et de défis. Perfectionnons-nous dans l’art d’en sortir victorieuses et plus sages que nous ne l’étions la veille, en nous appuyant sur la sagesse de Dieu et sur son Esprit saint.

Avec Dieu, le meilleur est à venir. Tu peux y croire !

 

 

Femme, marche nue !

Femme, marche nue !

“Qui t’a révélé que tu étais nu ?”

C’est la question que Dieu a posée à Adam quand celui-ci s’est caché de Lui après avoir mangé du fruit défendu (Gen. 3:11).

L’attitude d’Adam révèle l’une des premières conséquences du péché : susciter la honte qui pousse à s’éloigner de Dieu. Et c’est une arme redoutable que Satan continue d’employer aujourd’hui plus que jamais, particulièrement avec les femmes, pour les paralyser par la peur et par les insécurités. Face à nos péchés et manquements en tant que femmes, épouses, disciples, servantes de Dieu et mères, la honte tend à nous faire baisser la tête, à nous cacher et ainsi à nous éloigner de l’amour de Dieu. Pire que ça, elle nous pousse à vivre sous la pression d’une religion, celle du “self-empowerment” qui n’est qu’une vaine et épuisante tentative de nous rendre acceptables aux yeux de Dieu par nos propres moyens de pseudo perfectionnement.

Mais remarquez bien une chose : Adam a péché, mais Dieu est néanmoins venu à lui (Gen.3:9). Le péché a changé la perception d’Adam sur le caractère de Dieu, mais le péché n’a pas changé Dieu, ni son amour pour Adam. Dieu ne s’est pas éloigné d’Adam, Il est au contraire venu le rencontrer dans son péché. Et c’est la même chose qu’Il a faite avec nous à travers l’incarnation de Jésus-Christ!

En ce mois de la célébration de la femme et alors que notre société fait constamment plier cette dernière sous le poids de ses standards ridicules qui font naître en nous toutes sortes de complexes et auto-limitations, je veux vous inviter à trois choses :

  1. Réalisez que Dieu vous aime et vous accepte telle que vous êtes. Vos péchés ne lui sont pas inconnus et c’est Lui-même qui est venu à vous dans et malgré votre condition.
  2. Oui, en tant que chrétiennes, vous êtes appelées à marcher dans la sanctification, mais ce n’est jamais dans un but de “performer” pour vous faire davantage accepter de Dieu. Réalisez que vous ne pourrez jamais vous faire aimer de Lui plus qu’Il ne vous aime déjà.
  3. Être une femme chrétienne au 21ème siècle, c’est embrasser l’amour et la grâce de Dieu qui nous rend libres des influences et standards du monde, mais aussi de la pression que nous nous mettons inutilement sur nous-mêmes. Nous pouvons alors aimer et servir sans chaînes, mais surtout sans permettre à l’ennemi de nous mentir sur l’importance que nous avons pour notre Père céleste telles que nous sommes.

En ce mois de la femme, choisissons de ne plus nous cacher de Lui, de ne plus laisser prise à nos complexes et insécurités. Positionnons-nous toujours plus fermement pour ne plus laisser les voix du monde ou celle de notre propre chair nous éloigner de la Vérité de Dieu à notre sujet.

Nous sommes toutes nues devant Dieu et c’est précisément la condition dans laquelle nous devons être. Grâce à Jésus, la honte que le diable a fait naître à travers cette révélation de notre nudité nous positionne parfaitement pour expérimenter sa paix, sa joie, sa puissance et sa liberté. Ne nous cachons plus. N’essayons plus de gagner son amour en jouant le jeu satanique de la performance et de la quête de perfection.

Marchons fièrement nues dans la grâce de Dieu et rayonnons puissamment de sa Lumière auprès de toutes les femmes encore prisonnières des mensonges de l’Ennemi.