Bien-aimée modestie : l’habillement

Bien-aimée modestie : l’habillement

Il y a plusieurs mois, je rédigeais un texte de présentation de mon église lorsque la question de l’habillement s’est posée. Nous avions jugé important de préciser aux futurs visiteurs qu’ils étaient libres de se présenter habillés comme bon leur semble. L’église doit être un lieu d’accueil avant tout, un lieu vers lequel tout le monde se sente le bienvenu quelque soit le choix vestimentaire.

Mais si cela vaut pour les non-croyantes et nouvelles converties, qu’en est-il exactement pour les Chrétiennes “confirmées” qui sont censées avoir une meilleure connaissance des attentes de Dieu à ce sujet?

Je veux aussi que les femmes, vêtues d’une manière décente, […] – 1 Timothée 2:9

L’une des plus grandes tristesses de ce monde pour les femmes, à mon sens, c’est la perte de leur identité qui leur fait croire aujourd’hui qu’elles n’ont de la valeur que si elles exposent leur corps. Mais le plus triste c’est de voir de plus en plus de Chrétiennes s’identifier aussi de la sorte. Je touche là un sujet très délicat, je le sais bien. Rassurez-vous, je ne suis pas la reine de la modestie, mais je dois avouer que ces derniers temps, cet été notamment, j’ai difficilement lutté contre ma “surprise” de voir de nombreuses soeurs en Christ habillées comme les femmes du monde. Suis-je devenue trop prude? Trop sectaire? Trop réac’? Moi qui adolescente ne jurait que par des tenues microscopiques, pourquoi suis-je désormais aussi mal à l’aise lorsque je vois des jeunes filles et des mères de famille chrétiennes suivre la mode de l’ultra court, l’ultra serré et l’ultra décolleté qui laisse si peu de place à l’imagination ?

Ma réponse: La Parole de Dieu, ma condition chrétienne et ma responsabilité maternelle.

Aujourd’hui le monde fait des standing-ovations à des stars du porno, des célébrités du show-biz sont adulées et copiées pour leurs tenues vestimentaires toujours plus dépouillées et nos garçons sont constamment exposés à la nudité dans les publicités, sur internet et à la télévision. L’innocence des enfants leur est volée de plus en plus tôt, souvent sous le regard indifférent des parents qui ont adopté cet environnement comme une normalité.

Mais nous Chrétiennes ne sommes pas censées fonctionner ainsi. La Parole de Dieu est claire et nous demande de ne pas être une occasion de chute pour notre frère (Romains 14:13)…

  • Pourtant, nous laissons nos jeunes filles se rendre presque dévêtues aux réunions et camps de jeunesse avec des adolescents en plein bouleversements hormonaux, bombardés par la pornographie et à qui on essaye d’enseigner la pureté et l’abstinence jusqu’au mariage. Ne seront-elles pas une occasion de chute en suscitant en eux des pensées et désirs incontrôlés?
  • Idem pour la soeur célibataire qui se promènera quasi dévêtue devant les maris de ses soeurs en Christ… Ne sera-t-elle pas une occasion de chute en attirant les regards de ces hommes (Matthieu 5:28)?
  • De même, connaissant la perversion qui règne dans ce monde, l’une et l’autre ne se mettent-elles pas en danger en sortant “habillées” ainsi et en attirant des regards pas toujours innocents?
  • Mais aussi, la femme chrétienne mariée qui expose ses attributs à la vue de tous n’envoie-t-elle pas un message de séduction pour les autres hommes? Quelle image donne-t-elle de son mari et quel modèle enseigne-t-elle à ses enfants?

Sachant tout cela, comment se fait-il que nous soyons encore aussi nombreuses à copier chaque tendance, chaque star du monde et à exposer nos précieux corps à la vue de n’importe qui ? Certaines prétexteront la chaleur pour justifier leurs choix dénudés… C’est à se demander comment faisaient les femmes à l’époque biblique qui vivaient dans des pays arides, dans des déserts et qui pourtant ne se promenaient pas nues ! Nulle part il n’est dit dans la bible que certaines soient mortes d’avoir été trop décentes par temps chaud ! À l’époque biblique, les femmes de Dieu étaient reconnues pour leur pudeur et la femme qui craint Dieu aujourd’hui doit être reconnue pour sa décence.

Mais l’habit ne fait pas toujours le moine, j’en conviens.  Nous pouvons être habillées sobrement tout en ayant un coeur sans vertu. Mais la Parole de Dieu nous demande de demeurer sobres et décentes, non seulement dans nos tenues, mais aussi dans nos attitudes. Jouer de sa sensualité déshonore notre corps, envoie le mauvais message, décrédibilise le Seigneur et nous fait causer la chute de nos frères, tout cela en plus de nous mettre en danger. Et si l’apôtre Paul a jugé bon de le mentionner dans ses recommandations aux églises, ce n’est donc certainement pas un sujet à prendre à la légère !  Et qu’on le veuille ou non, en tant que Chrétiennes, la façon dont nous nous habillons en révèle beaucoup sur ce qui nous influence le plus : le monde ou le Royaume de Dieu?

[…], ne se parent ni de tresses, ni d’or, ni de perles, ni d’habits somptueux – 1 Timothée 2:9

Alors, Dieu est-Il contre les bijoux, les jolies coiffures, les vêtements chics ou la beauté en général? Je ne pense pas. Pas si on se réfère à toutes ces femmes citées dans la bible telles que Esther et son année entière de soins de beauté, la femme de valeur et ses vêtements de fin lin ou des femmes comme Sarah et Rachel reconnues pour leur beauté extérieure.

Lorsqu’on prend le contexte de 1 Timothée 2.9, les femmes qui se paraient de tresses, de bijoux, de maquillage et d’habits somptueux étaient généralement des prostituées qui se préparaient de la sorte pour attirer et séduire les hommes. Elles envoyaient ainsi un signal, communiquaient sur leur disponibilité.

De nos jours, les prostituées s’habillent très court pour révéler tous leurs attributs aux potentiels clients qui les choisiront en fonction de l’attrait de ces derniers. Plus elles en montrent et plus ça leur rapporte.

Ainsi, autant à l’époque de Paul il était inconvenant pour une Chrétienne de se vêtir comme une prostituée de l’époque, autant il est inconvenant pour nous Chrétiennes aujourd’hui de nous vêtir comme les prostituées de notre siècle. Nous avons une image à préserver et des vertus de décence et de modestie à incarner.

 mais qu’elles se parent de bonnes oeuvres, comme il convient à des femmes qui font profession de servir Dieu. – 1 Timothée 2.10

Notre corps est précieux, non seulement parce que Dieu nous l’a soigneusement confectionné et qu’il est le temple de son Esprit, mais aussi parce que nous portons la vie, nous portons ce qu’il y a de plus précieux au monde. Nous pouvons nous habiller décemment et avec pudeur tout en demeurant élégantes et belles. Nous devons enseigner à nos filles qu’elles sont comme un diamant dans son écrin. Ce dernier doit être ouvert délicatement, par la personne à qui on aura soigneusement veillé à l’offrir. Et cette personne n’en mesurera que mieux la préciosité si elle n’a pas déjà eu maintes et maintes fois l’occasion de le découvrir en long, en large et en travers.

Bien-aimées, soyons sobres et modestes tout en incarnant l’élégance et la dignité comme nous le demande le Seigneur. Et veillons avant tout à nous parer de bonnes oeuvres comme il convient à des femmes qui ont fait profession de servir Dieu (1 Tim. 2:10). La charité du coeur et une attitude modeste, voilà le secret de la vraie beauté devant Dieu.

 

Photo de Artem Beliaikin provenant de Pexels

Le plat préféré de Dieu

Le plat préféré de Dieu

Offre en sacrifice à Dieu ta reconnaissance, et accomplis tes vœux envers le Très-Haut. Fais appel à moi quand tu es dans la détresse: je te délivrerai, et tu m’honoreras.
Psaume 50:14-15

En Afrique, l’une des qualités requises pour une future épouse, c’est de savoir cuisiner. Elle s’assure ainsi, lui dit-on, de “tenir son mari par le ventre” !

Et saviez-vous qu’il existe aussi un moyen de “tenir” Dieu par le ventre ?  Voici la recette pas si secrète qu’Il déguste avec joie et sans modération. Osez la-Lui cuisiner régulièrement!

Ingrédients

– Foi

– Actions de grâces

– Intégrité

– Humilité

Préparation

1. Utilise ta foi pour croire que Dieu existe, qu’Il est bon et que tout ce que tu reçois dans ta vie provient de Lui seul.

2. Incorpore sans modération des actions de grâces quotidiennement que tu Lui exprimes par la prière, par la louange et par ton application à vivre Sa Parole.

3. Veille à respecter les engagements que tu as pris vis à vis de Lui en t’appuyant sur son Saint-Esprit. Tu es vivement encouragée à les noter dans un petit livret. Rappelle-toi qu’Il reçoit toutes les promesses que tu Lui fais, y compris celles que tu formules “en l’air” dans ton désespoir pour le convaincre d’intervenir dans ta situation. Fais de ton mieux pour les respecter (surtout quand il s’agit de repentance!), par égard pour Lui, mais aussi par souci de l’intégrité que ton statut d’enfant de Dieu exige de toi.

4. Lorsqu’Il a agi en ta faveur, veille à bien Lui en attribuer la gloire. Dieu n’aime ni les orgueilleux, ni les vantards, ni les usurpateurs. Aie l’humilité de croire et d’accepter haut et fort que tu n’as rien pu faire et que tu ne pourras jamais rien faire dans ta vie sans Lui.

Une fois ta recette réalisée, sers-la quotidiennement à Dieu avec confiance, fidélité et persévérance. Sers-la-Lui même les jours qui te semblent dénués de tout intérêt, parce qu’ils ne semblent faits que de choses banales. Sers-Lui-en une quantité double ou même triple les jours de grande détresse !

Avec ce plat, tu t’amasses un trésor dans lequel tu pourras puiser les jours de grandes détresses. C’est son plat préféré, Il n’en sera jamais rassasié.

Bon appétit !

Mamans, menez le combat!

Mamans, menez le combat!

S’il m’a fallu plusieurs années pour réussir à réellement embrasser mon appel de mère de famille, lorsque je regarde à ce qui se déroule sous nos yeux aujourd’hui, je rends grâce d’avoir pu le faire et de mieux réaliser désormais les enjeux et le rôle que j’ai à jouer à mon niveau pour le Royaume de Dieu.

Avez-vous remarqué l’acharnement dont le monde actuel fait preuve pour détruire la famille et le plan de Dieu pour cette dernière ? Avez-vous comme moi remarqué que nous courons chaque jour plus vite vers notre autodestruction, souvent sous le regard indifférent ou naïf de ceux et celles qui peuvent faire une différence?

Lorsque Dieu a créé le mariage et la première famille, Il exprimait ainsi l’importance que cette dernière aurait sur toute la civilisation. La famille devait être la première église, avec les parents comme pasteurs et les enfants comme fidèles qui prendraient à leur tour les rôles de pasteurs auprès de leurs propres familles. Peupler la terre d’hommes et de femmes qui aimeraient Dieu et transmettraient ses valeurs et commandements à leur progéniture, afin d’hériter tous ensemble d’un nouveau Royaume malgré le péché originel, voilà ce qu’a toujours été le plan de Dieu pour les Hommes, pour les familles. La famille est si importante pour Dieu qu’on la retrouve dans les notions de famille spirituelle, de mariage, d’époux et d’épouse en référence à Christ et Son église… Oui, la famille est le point de départ du plan de Dieu pour l’humanité.

Ainsi, nous ne devrions pas être surprises de voir que c’est précisément cette dernière que le monde actuel et celui qui le dirige visent particulièrement. Le projet de destruction de l’Ennemi ne fait plus de mystère et aujourd’hui, nous lui ouvrons tellement les portes de nos propres foyers qu’il ne prend même plus la peine de se cacher. Le diable se révèle au grand jour, parce qu’il n’y a plus grand monde pour lui barrer la route et au contraire, on lui déroule le tapis rouge. Et comme dans toutes les dictatures et régimes communistes qu’il a manipulés avant nos pseudos démocraties actuelles, la cible principale ne fait aucun mystère, car il sait pertinemment que toute idéologie se forge à partir d’elle : les enfants.

  • Rentrée 2015 : à son premier cours d’histoire, mon fils se retrouve face à un enseignant qui pendant deux heures s’évertuera, à coups de blasphèmes et de propos déplacés, à prouver à tous les enfants de sa classe qui croient en Dieu à quel point ils sont stupides. Il en profitera pour les encourager vivement à lire le livre qu’il s’est appliqué à écrire durant des mois pour “prouver” l’inexistence de Dieu et qui est disponible, avec la bénédiction de la direction de l’école, pour tous les élèves à la bibliothèque scolaire…
  • Rentrée 2015 toujours, de nouveaux cours d’éducation à la sexualité sont imposés dans les établissements scolaires, dès l’âge de 3 ans ! Objectif clairement assumé : éduquer nos enfants aux nouvelles moeurs de la société “progressiste” que sont l’homosexualité, la théorie du genre et la banalisation de l’avortement. On contraint les parents à accepter et on insulte ceux qui auront le malheur de revendiquer leur droit à transmettre leurs propres valeurs à leurs enfants. Si de surcroît ces valeurs sont chrétiennes, elles seront jugées arriérées et anti-progressistes. Pour rappel, la campagne de propagande était lancée depuis quelques mois avec force lorsque les enfants se sont vus “encouragés” à porter des bracelets en guise de soutien au mariage homosexuel, ou lorsqu’ils ont été forcés de subir des mois durant, des campagnes d’affichage indécentes sur les murs de leurs établissements scolaires.
  • Été 2015: nous voyons un peu partout dans le monde des initiatives qui font froid dans le dos:

– une nouvelle série télévisée américaine destinée aux adolescents sera lancée en grandes pompes pour la rentrée. Lucifer y est la star principale et y est représenté comme un mec “cool” et pas si méchant que ça, juste un gars un peu incompris qui ne chercherait finalement que sa rédemption… Dans un monde où les jeunes s’identifient énormément à ce qu’ils perçoivent par le biais des médias, c’était probablement le coup à jouer pour banaliser l’Ennemi…

–  Un peu partout dans le monde, on remarque une mobilisation sans précédents des antéchrist qui réclament à coups de manifestations et plaintes juridiques le retrait de tous les symboles religieux : les croix accrochées depuis des décennies sur des monuments, les tablettes des 10 commandements représentées depuis tout aussi longtemps au Capitol, l’interdiction aux équipes et coachs de prier avant les événements sportifs, le retrait de versets sur les insignes de shérifs et voitures de police, les demandes de fermeture de pages Facebook d’administrations qui auront eu le malheur de partager des versets à leurs abonnés…pour ne citer que ces exemples.

–  Aux États-Unis, on célèbrera en grandes pompes l’inauguration d’une statue représentant Lucifer et des enfants qui le regardent avec adoration. De nombreuses familles se presseront pour la célébration qui sera relayée et banalisée par de nombreux médias.

  • Été 2015 en Europe : une exposition dont certains tableaux représentent le diable tenant dans ses bras une enfant nue fera grand bruit. Les gens seront révoltés, mais l’exposition ne sera point annulée et fera même salle comble pendant plusieurs jours…
  • Et depuis quelques années, on observe un recrudescence de la violence infantile, des enfants qui n’hésitent plus à tuer et faire tuer leurs parents parce que ces derniers leur ont confisqué leurs joujous technologiques, des objets qui les possèdent au point de les transformer en tueurs. Pour avoir lu de nombreux témoignages d’anciens agents sataniques sauvés par Christ avec pour mission de mettre en garde contre les techniques du diable, je sais que l’une de ses approches privilégiées pour la jeune génération passe par les technologies. Et quand on voit les files d’attente et les sacrifices que beaucoup font pour s’offrir le dernier Iphone à la mode dont ils font ensuite dépendre leur vie et celle de ceux qui ont le malheur de les en priver, on constate que cette stratégie fonctionne à merveille de nos jours !

Ce ne sont là que quelques exemples parmi tant d’autres. Leur point commun: les familles, les enfants. Le but affiché? Transformer les références dès le berceau et faire passer le mal pour le bien, les déviances pour une norme approuvée par tous. La famille est plus que jamais la structure à abattre, et c’est la raison pour laquelle c’est précisément au coeur de nos familles que nous pouvons riposter, pour reconstruire notre culture et mettre en échec les plans de l’Ennemi.

Malheureusement, nous sommes encore trop nombreuses à ne pas prendre la pleine mesure de cette responsabilité. Nous continuons de chercher nos épanouissements personnels à l’extérieur de nos foyers ou dans des choses frivoles et à considérer notre appel maternel comme une tâche subalterne alors que Dieu nous a confié le rôle le plus important qui soit.

La plupart des grands hommes et grandes femmes qui ont marqué l’histoire du monde tel que nous l’avons connu ou tel que nous en avons entendu parler dans ses heures de gloire avaient reçu des fondements solides, des valeurs qui leur avaient été transmises par leurs parents avec foi et persévérance, valeurs qui se sont ancrées si profondément en eux et dont ils ont tant pu observer les bienfaits qu’ils se sont appliqués leur vie durant à les mettre en place pour construire une société, une civilisation dont leurs descendants étaient fiers. Jusqu’à ce que les nouveaux courants modernes surgissent, l’information et la perte des valeurs… Le foyer a toujours été et restera toujours le point de départ de la culture. Nos descendants à nous seront-ils fiers de la société que nous leur laisserons? Si nous voulons une meilleure société, une meilleure culture et une moisson abondante pour le Seigneur, nous redonnerons au foyer son importance, ses lettres de noblesse et nous lui accorderons toute l’attention et l’investissement qu’il exige. Et il est désormais plus urgent que jamais d’opérer ce revirement, à l’heure où le monde entame un pas décisif vers sa déchéance.

Le temps est venu de saisir l’importance de notre rôle. Parce que ce rôle est capital pour le Seigneur, il doit l’être d’autant plus pour nous ! L’avenir de nos enfants et la moisson de Dieu ne sera pas uniquement dépendante de nos églises que nous fréquentons en famille le dimanche matin, mais principalement de l’église que nous avons chez nous, dans nos foyers. Et nous les mamans avons un rôle d’influence crucial qui exigera de nous intention, foi, rigueur et persévérance. Notre travail ne se fait pas à corps et à cris dans des manifestations publiques pour faire changer les moeurs, mais nous les changeons dans le silence de nos foyers, à l’abri des regards et des louanges et à travers chaque petit choix, chaque petit geste et chaque petite leçon que nous transmettons avec application aux futurs soldats de Dieu.

Le jour où j’ai réalisé à quel point le rôle d’une maman était capital pour le Royaume de Dieu est le jour où Dieu a réellement commencé à m’équiper pour le remplir et tenir face à l’adversité.

Tout bon combattant commence par étudier les angles d’attaque de son ennemi. Il ne peut se permettre de les nier s’il veut remporter la victoire.

Nier le déchaînement actuel des puissances des ténèbres dont l’objectif est de détruire nos familles, nos enfants et la famille de Dieu, c’est faire preuve d’une grande naïveté. L’apôtre Pierre nous dit:

Soyez sobres, restez vigilants: votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui dévorer. – 1 Pierre 5 : 8

Et l’apôtre Paul confirme aux Éphésiens cette réalité en ces termes :

En effet, ce n’est pas contre l’homme que nous avons à lutter, mais contre les puissances, contre les autorités, contre les souverains de ce monde de ténèbres, contre les esprits du mal dans les lieux célestes. – Éphésiens 6:12

Prendre la mesure de cette réalité est désormais urgent et capital. Nous avons un devoir de veille dans nos foyers, nous devons protéger les âmes de nos enfants avec la même férocité dont nous ferions preuve si un lion menaçait leur vie physique, ouvrir les yeux sur le combat qui se déroule dans l’arène de nos vies.

Nous devons être conscientes…

– conscientes que le danger est réel et que dans nos quotidiens visibles, nous menons aussi un combat qui se déroule dans l’invisible et que notre adversaire ne nous fera aucun cadeau. Ni à nous, ni à nos enfants, ni à nos couples, ni à nos familles;

– conscientes des réalités de notre culture actuelle, son bruit, son influence et son degré d’intrusion dans nos foyers provenant de sources multiples et variées auxquelles nous ouvrons parfois nous-mêmes la porte…

– conscientes que notre vocation d’épouse et de mère exige que notre époux et nous-même prenions intentionnellement la responsabilité de l’éducation de nos enfants;

– conscientes que d’autres y sont parvenues avant nous et que nous avons, en tant que Chrétiennes, un devoir de transparence, de partage, de témoignage et de soutien dans nos différents challenges et dans la poursuite de nos objectifs communs;

– conscientes que le degré d’érosion de la vérité est à un point tel dans les esprits et les coeurs qu’il faut puiser continuellement dans la divine puissance pour maintenir le mal hors de nos foyers et persévérer dans la construction de ceux-ci;

Oh, ne vous y trompez pas ! Je sais quel cocktail de patience, de persévérance et d’intentionnalité cela exige, mais surtout la conscience d’une lutte perpétuelle contre notre chair qui aura souvent tendance à nous faire jeter l’éponge au moindre obstacle! Depuis quatre ans, nous sommes chez nous dans la délicate phase de l’adolescence avec tous ses challenges et cet article, je l’écris aussi pour m’édifier moi-même et pour garder à l’esprit la nécessité et l’importance de mener et de poursuivre le combat. Car c’est un bon combat. Le combat dans la foi pour les âmes est le seul combat qui vaille la peine d’être mené dans cette vie et c’est notre principale mission en tant que Chrétiens. À quoi cela nous servira-t-il d’évangéliser le monde si c’est pour manquer à notre premier devoir d’évangélisation au sein de nos foyers?

Le coeur de nos familles est le point de départ. Nous ne pourrons pas nous plaindre de voir nos enfants rejeter Dieu si nous n’avons pas été intentionnelles lorsqu’il fallait leur apprendre à le connaître. Nous ne pourrons pas nous plaindre des valeurs qu’ils adoptent si nous avons laissé le monde leur inculquer les siennes. Nous ne pourrons pas nous plaindre de les voir adopter des discours d’hommes et de femmes perdus si nous avons négligé de leur montrer le Chemin, la Vérité et la vraie Vie !

Reconstruire notre culture sera donc une affaire de famille. Pas une affaire d’intellectuels, ni de médias, ni de politiciens. L’église y contribuera beaucoup, mais les véritables fondements seront posés par nous en tant que mères déterminées à reconnaître et à embrasser contre vents et marées, l’appel le plus important de nos vies; des mères prêtes à enfiler les gants pour tenir dans l’arène face à l’Ennemi et combattre avec assurance et persévérance, car équipées d’une extraordinaire puissance divine qui les aura précédées de tout temps.

Tu me donnes de la force pour le combat, tu fais plier sous moi mes adversaires. – Psaumes 18:40

Bien-aimées mamans, il n’y aura jamais dans vos vies plus noble et plus nécessaire combat que celui que vous mènerez à genoux pour les âmes de vos enfants, puis debout, de vos mains, par la multitude d’actes humbles, modestes et altruistes que vous poserez chaque jour pour eux, avec l’amour comme unique et éternel moteur.

Bénédictions !

Ministère Elles à Table

Ministère Elles à Table

Vous aimez recevoir, découvrir de nouvelles personnes et vous voulez mettre au service de Dieu votre don d’écoute et de compassion? Osez un programme original qui apportera une nouvelle dynamique dans votre église ! Essayez “Elles à Table” et regardez Dieu restaurer des vies sous votre toit !

Ce ministère repose sur le fondement de Actes 2:46 :

Ils étaient chaque jour tous ensemble assidus au temple, ils rompaient le pain dans les maisons, et prenaient leur nourriture avec joie et simplicité de coeur…

Il s’agit de remettre au goût du jour la valeur de l’hospitalité au coeur de l’église. Il s’agit d’offrir aux femmes un moyen de se reconnecter les unes aux autres et de partager librement sur la réalité de leur parcours de vie chrétienne autour d’un repas simple et dans une ambiance authentique et conviviale.

LA RÉALITÉ

Le quotidien chargé des femmes leur laisse peu de temps pour développer des relations, alors même que leur coeur y aspire plus que jamais. Et même dans les églises, elles sont de plus en plus nombreuses à se languir de connexions saines et vraies, et à rêver d’une communauté de soeurs désireuses d’ouvrir leur coeur et l’intimité de leur saison de vie.

Elles à table, c’est donc la générosité d’une âme qui ouvre son foyer, l’hospitalité d’un coeur qui invite à partager. C’est la simplicité d’un repas, des histoires de vraie vie, des conversations authentiques et fondées sur Jésus, des rires, peut-être quelques larmes, du temps passé ensemble, en vérité et sans jugement. Et à la fin, des coeurs heureux, rassasiés et infiniment reconnaissants.

QUI EST CONCERNÉ ?

Elles à table, c’est pour celles qui sont en quête d’authenticité et d’ouverture et qui croient en l’hospitalité comme un moyen d’offrir un coin de leur monde à des âmes fragilisées, à des cœurs brisés et à des corps épuisés en quête d’écoute et de partage. C’est une opportunité pour celles qui veulent aller au delà des politesses du dimanche à l’église et faire de leur lieu de vie une église aux portes ouvertes. C’est pour celles qui en ont marre de la superficialité des relations que nous expérimentons dans notre siècle et qui désirent vivre l’église comme Jésus l’incarnait et comme les premiers chrétiens la vivaient, en misant sur ce qui en faisait la force (Actes 2:46).

DANS LES FAITS

Sur le fondement de Actes 2:46 : 2 heures  – 4 questions – 6 femmes , autour d’un repas simple.

Vous ne pourrez certainement pas faire le tour de toutes les questions existentielles en 2 petites heures, mais ce sera une amorce, un brise-glace qui permettra de développer des relations plus profondes par la suite. Il s’agit d’une initiative de femmes qui s’accueillent, s’édifient et s’encouragent, font de leurs différences une force et réalisent qu’elles ont en commun le plus important: leur foi en Dieu.

CE QUE ELLES À TABLE N’EST PAS

  • Elles à table, ce n’est pas un concours de la meilleure hôtesse de l’année. L’idée c’est aussi de mettre un terme à ce qui nous divise régulièrement nous les femmes : la comparaison, le jugement, la critique, la médisance, les complexes… et de revenir à la simplicité et à la générosité du coeur de Christ.
  • Elles à table, ce n’est pas un groupe-vie. Il ne s’agit pas de revenir sur le sermon du dimanche matin qui reste toujours assez générique, mais bien d’aborder des sujets qui touchent à la réalité des femmes et qui permettent des échanges en vécu et en vérité, dans le respect de la saison de vie de chacune.

LE COMMENT

  • Priez pour que le Saint-Esprit vous mette à coeur des femmes que vous devez inviter (des femmes de votre église, de votre travail, de votre quartier, les mamans de l’école de vos enfants, etc).
  • Développez une série de 4 questions autour d’un verset ou d’un thème biblique.
  • Choisissez une recette simple pour organiser vos tables en Marie plutôt qu’en Marthe (Luc 10), c’est à dire avec simplicité pour vous permettre de vous rendre disponible pour la meilleure part : l’écoute et le partage.
  • Distribuez vos invitations : maximum 6 femmes, y compris vous !
  • Recevez en toute simplicité et croyez en l’action du Saint-Esprit dans le coeur de chacune à mesure que vous échangez autour des questions.

Je veux vous encourager à rejoindre cette vision du coeur de Christ en invitant des soeurs de vos communautés et églises locales à “rompre le pain” chez vous. Incarnons Jésus en ouvrant nos portes et nos coeurs à des femmes qui en ont besoin autour de nous. Devenons intentionnelles en prenant soin d’elles. Exerçons notre don de l’amitié tout en partageant l’espérance de l’Évangile avec celles qui rêvent de découvrir à quoi ressemble l’amour véritable, à celles qui ont besoin de voir l’amour de Dieu en action. Soyons une famille pour celles qui n’en n’ont pas et offrons la même mesure d’amour que celle que nous recevons chaque jour du Seigneur.

Quand vous ouvrez votre maison et invitez des femmes à votre table, vous êtes littéralement une réponse de Dieu pour beaucoup d’entre elles.

En Lui.

 

 

Quand croire en Dieu fait trop mal

Quand croire en Dieu fait trop mal

Sa vie chrétienne était loin d’être un long fleuve tranquille. Une fois l’euphorie de la conversion passée, la surprise et la douleur provoquées par les nombreuses épreuves lui ont fait remettre en question son choix de suivre Jésus. Ce n’est pourtant pas comme si elle n’avait pas été avertie. Jésus a été très clair dans Jean 16:33 quand Il lui a annoncé qu’elle aurait des tribulations. Pour autant, le sort semble littéralement s’acharner sur elle. Il n’y a plus de répit. Les coups s’enchaînent et la Présence de Dieu semble s’éloigner. La paix promise dans Jean 16:33 n’est pas sa réalité, ni la victoire de Christ sur un monde qui semble s’écrouler autour d’elle…

Alors la joie des jours heureux cède la place à la tristesse et aux questionnements. Cette douleur est parfois si intense qu’elle en arrive à avoir besoin de ne plus croire en Dieu. Continuer de croire en sa Bonté, en sa Présence, en son Amour, en sa Puissance alors qu’Il semble se refuser à les lui manifester dans ses circonstances devient extrêmement douloureux, presqu’une nargue…

Car oui, la foi peut être extrêmement douloureuse et coûteuse. La marche chrétienne peut être au fil des saisons, extrêmement laborieuse.

Et oui, on peut aussi se sentir extrêmement déçue de Dieu quand la vie qu’on espérait en Lui ou le chemin qu’on pensait suivre selon Sa direction s’obscurcissent douloureusement; quand toutes les semences qu’on s’est évertué à planter dans la prière, le jeûne et le service sacrificiel semblent jetées aux orties par Dieu Lui-même; quand on se heurte inlassablement au silence d’un Dieu qu’on appelle jour et nuit au secours en priant ses promesses et sa Volonté, en vain…

Continuer d’avancer sur un chemin qui lui semble de plus en plus obscur et vain devient alors un véritable défi. Elle regarde de loin et avec une pointe d’envie les promesses de Dieu se réaliser dans la vie des autres et elle finit par croire qu’elle ne fait définitivement pas partie de ses priorités. Les versets d’encouragement perdent de leur sens, la Parole de son attrait. Prier ne représente plus aucun intérêt. Dieu devient celui du livre, celui des autres… Elle perd de son ardeur, de sa passion des débuts et elle se résigne peu à peu à se laisser engloutir par ce qui, semble-t-il, sera désormais sa triste réalité. Entendre de la bouche des “super chrétiennes victorieuses” que “Dieu la forme, la soumet au test…” devient un irritant auquel elle a envie de répondre par une gifle bien sentie. Elle est fatiguée des tests, fatiguée des formations… Elle aspire à un répit, à un peu de clarté, à se sentir réellement utile, à voir ses semences et ses efforts porter du fruit. Oui, dans ces moments là, continuer de croire en Dieu lui fait atrocement mal…

Mais le pire dans tout cela, c’est quand elle réalise avec stupeur que malgré tous ses efforts, elle n’arrive pas à cesser de croire en Lui!

C’est le grand dilemme de la vraie chrétienne, celle qui a réellement été saisie par Christ dont elle est devenue, comme Paul, l’esclave. Elle a beau vouloir lâcher, s’en détourner, rien n’y fait. Elle se surprend régulièrement à continuer d’espérer en Lui vaille que vaille, à guetter ses miracles et interventions dans l’ordinaire de son quotidien, à Lui adresser une prière, soit-elle faite de larmes, de soupirs ou même de hurlements de frustration. Quoi qu’elle fasse, bon gré mal gré, elle s’y cramponne. Le lien à Christ est réel et elle se retrouve à persévérer bien malgré elle.

Elle ne le réalise pas tout de suite, mais la douleur et la déception qu’elle ressent sont un puissant témoignage de ce qu’elle pense précisément ne plus avoir : la foi. La douleur serait-elle aussi intense si Dieu n’avait pas été réel pour elle au point où elle le SAIT capable d’agir dans ses circonstances? Car c’est précisément son apparent refus qui la frustre au point où de ne plus croire en Lui lui semble être un moindre mal.

On ne peut être blessé à ce point que par ceux qu’on aime sincèrement et qui ont la capacité d’atteindre profondément notre coeur.

Et c’est alors qu’elle se souvient…

– Elle se souvient d’avoir accepté de tout perdre si c’était pour Le gagner au moment de sa conversion.
– Elle se souvient d’avoir demandé à Christ de prendre sa vie et d’en faire tout ce qu’Il voulait.
– Elle se souvient d’avoir prié pour le brisement qui lui permettrait d’être un instrument utile et puissant entre Ses mains.
– Elle se souvient d’avoir chanté “Je m’abandonne” à l’église plus d’une fois et de tout son coeur.
– Elle se souvient d’avoir accepté de porter sa croix chaque jour en acceptant de suivre Jésus.
– Elle se souvient d’avoir choisi d’appliquer Matthieu 16:25 en perdant sa vie à cause de Christ plutôt que de la sauver.
– Elle se souvient d’avoir renoncé à sa vie, à ses propres rêves et ambitions pour ne marcher que dans la Volonté de Dieu seul.
– Elle se souvient de L’avoir invité à être Maître du chemin, Seigneur de sa vie et d’avoir choisi de croire que tout ce qui surviendrait n’échapperait pas à son Contrôle.
– Elle se souvient d’avoir renoncé à tout contrôler, ni ce qu’elle produit, ni les fruits qui en découlent et encore moins la mesure des résultats.
– Elle se souvient que son engagement devant Dieu consiste à accepter de mourir chaque jour de mille petites morts intérieures, jusqu’à ce que Christ puisse régner dans tout son être et sans aucun partage.
– Mais elle se souvient aussi d’avoir chanté de tout son coeur “Christ seul me suffit; la croix devant moi, le monde derrière moi“.  Elle ne peut plus revenir sur cette déclaration sincère faite de multiples fois à Dieu, car elle réalise que ses paroles l’ont irrémédiablement engagée devant Lui.

Et oui, croire en Dieu peut faire très mal. Mais ta réalité bien-aimée, c’est que si ta conversion a été sincère, malgré tous tes efforts tu ne pourras te défaire de l’amour que tu as pour Christ et encore moins de celui qu’Il te porte.

Alors, que faire face à la douleur de la foi ?

1. Prends le temps de faire le deuil : le deuil de tes rêves et ambitions, de l’idée que tu t’étais faite de ce que serait ta vie en Christ et de ta relation avec Lui, le deuil de ce que tu croyais que tu aurais construis ou atteint à ce stade de ta vie; le deuil des fruits que tu pensais avoir portés après tout ton investissement et tous tes sacrifices dans la vie de tes enfants, ta vie de couple ou dans le ministère. Pleure ce qu’il faut pleurer, le temps qu’il faudra. Exprime à Dieu ta déception, ta frustration et même tes doutes à son sujet. Contrairement à ce qu’on a pu te faire croire, te questionner sur Dieu, même après de nombreuses années de vie chrétienne, est bon pour ta santé spirituelle. Tes questionnements sont une aspiration à mieux Le connaître, à sortir du statu quo spirituel, et tu l’invites ainsi à te faire de nouvelles révélations. Prends le temps de faire ce deuil, c’est capital.

2. Après ton deuil, lève-toi, prends courage et agis (Esdras 10:4)! Essuie tes larmes et prends la ferme décision d’embrasser ta vie désormais pour ce qu’elle est, pas pour ce qu’elle aurait pu être. Ne te retourne plus sur un passé qui ne peut plus rien t’apporter, mais qui va plutôt te figer, comme la femme de Lot (Genèse 19:26). Mais ne regarde pas trop loin vers un avenir que tu ne peux contrôler.

3. Choisis d’avancer un jour à la fois, chaque jour par la foi. N’attends pas que tout soit clair et toutes les planètes bien alignées. Prends ce que tu as aujourd’hui entre les mains et va, action par action, en faisant la bonne chose suivante et en abandonnant absolument tout entre les mains du Seigneur. Fais du saint détachement ton allié: abandonne absolument tout ce que tu fais à la seule souveraineté de Dieu (utilité, projets, fruits, résultats…)! C’est une clé très efficace pour gagner en paix intérieure, en contentement et en simplicité dans ta vie.

4. Ne te culpabilise pas de ne pas pouvoir prier. Le temps est sans doute venu de garder le silence devant Dieu. C’est aussi une forme de prière, de soumission et d’adoration. Tais-toi et attends. Même si tu ne sais pas ce que tu attends, attends! Mais prends aussi le temps d’écouter et d’observer. Parfois, les réponses de Dieu sont totalement inattendues et différentes de l’idée qu’on s’en faisait.

5. Quand tu pourras recommencer à prier, prie sans relâche pour la bonne perspective, celle qui te permettra de voir dans l’éternité, c-à-d au delà de ce que sont les choses dans ta vie aujourd’hui. Prie pour que la conscience de ce qui t’attend au Ciel pour l’éternité soit plus profonde que la conscience de ce que tu vis dans cette existence temporaire.

Marcher avec Dieu n’est pas facile et les fruits de sa Joie ne sont pas encore la réalité de toutes. Mais ça en vaut la peine. Christ en vaut la peine! L’Éternité en vaut la peine!

Le Dieu de toute grâce, qui vous a appelés en Jésus-Christ à sa gloire éternelle, après que vous aurez souffert un peu de temps, vous perfectionnera lui-même, vous affermira, vous fortifiera, vous rendra inébranlables.
1 Pierre 5:10

Bénédictions!